Samedi 16 juillet 6 16 /07 /Juil 21:53

Catherine pose une main sur un de mes seins. Elle fait un cercle avec son majeur autour de mon mamelon. « C’est vrai qu’ils sont beaux. Mélanie, tu veux bien dégrafer mon soutien-gorge? » Elle se retourne. J’ai les mains qui tremblent.

Je m’y reprends par trois fois pour dégrafer son soutien-gorge. Je n’ai jamais été aussi nerveuse pour enlever un des miens. Et puis, il y a Jérémie qui me distrait. Il est en train d’assouvir tous les désirs qu’il n’a jamais eu pour ma poitrine. Il en pince un si fort que la douleur me fait gémir doucement. Ses mains chaudes pétrissent sans réserve. Mes pointes ont durci et allongé. Maintenant, c’est sa langue qui tournoi autour de mon aréole. Et sa main, sa main s’est glissée dans ma fourche. Catherine s’est retournée vers nous. Je ne suis plus capable de détacher mes yeux de ses petits seins.
« Allez, vous venez? On serait mieux dans ma chambre. À moins que vous teniez à faire ça devant le feu. Allez viens, Mel, il va faire bien assez chaud dans mon lit! »

Elle me tire par le bras. Je me sens les jambes faibles. Je crois que je vais m’évanouir. Lui, il est superbe. Elle, c’est une fille. Et moi, moi, je ne savais pas que j’étais ce genre de fille. Le genre de fille qui en pince pour un couple d’ami. On entre dans sa chambre et elle se précipite sur le matelas. Je reste debout, toujours captivé par ses seins. Ce qu’ils sont beaux : conique, ferme, avec un petit mamelon tout rond et les pointes bien dures.  Elle sourit. Elle dit qu’elle sait bien que c’est étrange. Elle non plus, elle n’avait jamais pensé qu’on pourrait faire ça ensemble. Mais, c’était avant que Jérémie le suggère. Depuis, c’est étrange, elle ne me voit plus de la même façon. Elle sait que je suis la fille parfaite avec qui essayer ça. Juste assez discrète.

Je ne sais pas où est Jérémie. Je m’allonge près de Catherine. Sur le côté, tous près d’elle. J’ose glisser tout doucement un doigt sur un de ses seins. Elle ne sourit, plus. Elle met une main dans mes cheveux, derrière ma tête et me force d’un coup sec à approcher ma bouche contre la sienne. Ça y est, on s’embrasse. Sa langue se fraye un chemin entre mes lèvres. Je ne fais rien pour résister. Sa langue est douce, comme la peau de son mamelon sur lequel ma main repose toujours.

Je ne sais pas ce qui me prend. Je monte sur elle. Enfin, je pivote au-dessus d’elle. Nos lèvres ne se sont pas séparées et notre baiser continu. Je sens les petites pointes en érection de sa poitrine grafigner la mienne. Je sens ses mains sur mes fesses. Je ne savais pas que je serais tant attiré par elle.

Oui, j’ai toujours admiré Catherine. Au secondaire, elle avait plein d’amies. Elle faisait partie de la troupe de théâtre et du conseil étudiant. Avec les garçons, elle était super populaire. Je me rappelle, cette année, au premier cours de philo, quand elle est entrée dans le local. Elle m’a aperçu et elle m’a souri. Elle est venue s’asseoir à côté de moi et elle m’a demandé : « Tu venais avec nous à Charlemagne, toi, non? » J’ai hoché la tête. Je ne pouvais pas croire qu’elle me parlait, à moi. En baissant les yeux, je lui dis que oui, que j’étais de Kirkland, moi aussi. Au début, on était juste coéquipière en philo et puis on est tombé dans le même cours de français. Je crois qu’on est devenue des amies. Maintenant, j’ai envie qu’on devienne amantes. Jamais j’aurais cru qu’elle était bi. Je ne savais même pas que je l’étais.

J’ai toujours trouvé qu’elle avait de beaux yeux. Ils sont gris ou plutôt pers. Pourtant, ça me gêne un peu de les voir de si près. Alors, je m’esquive en descendant vers son ventre. Je m’arrête à la hauteur de ses seins. Je ne peux pas croire que je vais poser mes lèvres sur ces petits mamelons. J’en ai envie. J’ai de drôle d’envie ce soir. Où est-ce qu’est passé Jérémie. C’est avec lui que j’étais supposée baiser.

- « Ah! Mélanie.
- Pardon, je ne voulais pas.
- Mais non, continue.
- T’es certaine?
- Comme tu faisais. Je trouvais ça très plaisant.
- Jérémie, il est…
- Partie chercher les condoms dans son blouson. Allez, profites-en, tu m’as juste pour toi. »

Ah! Il est parti chercher les condoms dans son blouson. C’est bien qu’il se protège. Moi, perso, je prends la pilule et puis, ce n’est pas comme si je coucherais avec tout plein de garçons. Le préservatif, c’est ce que ça prend de nos jours. Surtout si on… Oh! Elle attire ma tête vers son nichon. Elle veut que je continue. J’y vais plus goulûment. Toute ma bouche sur son mamelon. Elle aime bien, enfin je crois. Je n’ai plus l’impression qu’elle le fait juste pour plaire à Jérémie. Au début, j’avoue que c’est ce que j’ai pensé. Je descends vers son nombril. Je vais lui montrer ce que je sais faire.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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