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A vous de jouer.

Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 12:45

Vers 10h30, Élodie me dit : « J’en ai marre de ce temps ! Si nous allions passer la fin de la journée dans une piscine tropicale ? ». Je lui répondis alors que ça devait être fermé… ! Qui pourrait bien avoir envie d’aller jusque là en pleine semaine par un temps pareil ? Puis, je me dis que ça ne coûtait pas grand chose de téléphoner pour se renseigner. Je fus heureusement surpris d’apprendre que la piscine était bien ouverte mais seulement jusqu’à 18 heures. Nous avions néanmoins largement le temps de nous y rendre et de passer un agréable moment. Lorsque nous sommes arrivés sur place, nous avons été de surprise en surprise… Comme il faisait très calme la Direction avait décidé de convertir les tickets classiques d’une durée de trois heures en accès illimité pour la journée. Il devait y avoir maximum 10 personnes dans le complexe tropical quand nous sommes arrivés. Et plus la journée avançait et moins il y avait de monde. Si bien que vers 16h30, nous nous sommes retrouvés tout seuls dans ce lieu paradisiaque.

Il ne restait en dehors de nous que le « maître-nageur »… une superbe jeune femme aux cheveux brun foncé mi-longs qui

devait avoir approximativement 25 ans et qui était dotée d’une musculature bien dessinée ne dénaturant cependant pas le moins du monde sa silhouette de top-model.

Bien que d’un naturel plutôt timide cette situation unique me donna rapidement envie de profiter, avec ma belle, des différents coins et recoins de ce paradis tropical pour nous faire des câlins de plus en plus torrides. Après s’être cajolés un peu partout, j’ai emmené Élodie dans un petit jacuzzi que j’avais particulièrement apprécié et qui se trouvait à l’écart de tout.

Nous avons repris nos séances de bisous puis j’ai commencé à avoir les mains nettement plus baladeuses. Ma chérie était d’abord un peu gênée que je mette la main dans son soutient-gorge dans ce lieu public où elle pensait pouvoir être surprise à tout moment. Je la rassurai en lui montrant que la seule personne présente ne semblait pas bien méchante et en lui rappelant que nous la trouvions même particulièrement complice et bienveillante la plupart du temps.

Élodie était à la fois intimidée par mes avances en ces lieux publics et surexcitée à l’idée que je m’occupe d’elle en un endroit si idyllique. Je me montrai donc patient et tendre. Laissant au jacuzzi le soin de la porter à ébullition.

Je jetais de temps à autre un regard furtif vers la jolie « maître-nageur » qui me semblait assez amusée devant ce tendre spectacle. Une bonne heure avant la fermeture je constatai qu’elle avait disparu de son poste d’observation, sans doute devait-elle se dire que nous ne risquions pas de nous noyer… !

Je profitai alors de ce moment de totale intimité avec ma belle pour devenir nettement plus entreprenant et descendis alors ma main dans son maillot pour caresser sa douce petite chatte et je constatai qu’elle était bien imprégnée de ses fluides. Il ne me fallut que quelques mouvements pour qu’elle oublie sa timidité et s’abandonne à mes carresses de plus en plus enflammées. Je glissai alors mon majeur en elle pour découvrir une foune largement ouverte et détrempée qui n’attendait qu’une chose : du plaisir !

Je commençai alors une séance de doigtage infernale qui la mena sans pitié vers son premier orgasme « public » … Je bandais comme un fou et je lui montrai en plaçant sa main sur mon sexe qu’elle caressa ainsi de longues minutes. La laissant reprendre un instant ses esprits, je décidai d’enlever mon maillot et le posai sur le rebord du jacuzzi pour qu’Élodie sache clairement que derrière les bulles qui rendaient la surface du jacuzzi presque opaque, j’étais entièrement nu.

Elle rougit un instant puis, je m’installai confortablement dans le bassin offrant mon sexe aux caresses de ma belle. Elle commença par le caresser délicatement puis, je lui suggérai d’y aller un peu plus franchement. Elle commença donc à me masturber dissimulée discrètement sous les bulles du jacuzzi. Elle regardait souvent si la jolie surveillante ne revenait pas et comme il n’y avait personne en vue, je glissai mes mains coquinement jusqu’à son maillot que je lui enlevai sans qu’elle ne s’y oppose.

J’entendis un léger bruit à côté de nous mais je ne dis rien à Élodie, pendant que je l’embrassais tendrement je regardai par-dessus son épaule au travers des feuillages exotiques et constatai que la belle naïade veillait toujours sur nous mais de manière nettement moins professionnelle… ! Je restai très discret pour qu’aucune des deux ne se rende compte de ce que j’avais capté et décidai de profiter de cet assentiment tacite.

Je suggérai alors à Élodie de venir « s’asseoir » sur mes genoux. Après une courte hésitation, elle se leva et vint s’empaler sur mon dard dur comme de la pierre. Nous commençâmes alors de doux va-et-vient qui devinrent rapidement plus vigoureux. Après quelques minutes, de plaisir intense, où je commençais à me consumer dans ce jacuzzi bouillonnant, je la relevai et l’installai confortablement appuyée sur les bords du jacuzzi pour continuer à la prendre en levrette offrant ainsi à notre observatrice indiscrète une vue impressionnante sur les mouvements de mon sexe entrant et sortant de la foune de ma bien-aimée.

 Nous montâmes alors tous les deux vers l’extase et lorsque le moment de jouir s’annonça pour moi je me retirai et lui balançai un gros jet de sperme chaud sur son merveilleux petit cul tout luisant de sueur. Je regardai alors en direction de la jolie « maître-nageur » et je constatai avec une certaine fierté que son maillot portait clairement une tache humide à l’entre-jambe. Elle me fit un clin d’œil puis s’éclipsa sur la pointe des pieds.

Nous profitâmes encore quelques minutes de ce lieu magique en nous câlinant tendrement entièrement nus dans ce grand jacuzzi. Puis, je demandai à ma chérie si nous pouvions aller prendre une bonne douche pour éliminer toute cette sueur accumulée.

A mesure que nous approchions des douches nous entendions de plus en plus clairement de petits gémissements venant de la douche des femmes. Élodie était intriguée mais n’osait pas aller voir. M’attendant à trouver la monitrice en train de se toucher, je n’avais qu’une envie, mater ce joli corps du mieux que je pouvais sans pour autant abandonner ma chérie après ce merveilleux moment que nous venions de passer.

Je fus aussi surpris qu’elle de découvrir la scène. En fait, notre belle naïade n’était pas en train de se toucher mais bien de se faire brouter le minou par un vaillant homme bien musclé qu’elle appelait son chéri. Nous restâmes discrètement à les observer cachés derrière le grand mur qui isolait les douches des vestiaires.

Elle lui demanda alors de la prendre sous la douche, là debout, sans plus attendre. Le vaillant gaillard mit la jeune femme face au mur, bascula son torse bien en avant, appuya les mains de celle-ci bien à plat sur le carrelage, écarta ses belles jambes puis la pénétra par derrière sans se faire prier d’avantage.

Son sexe n’était pas très long mais il était d’une grosseur sans commune mesure. Malgré la foune détrempée de sa copine il du manœuvrer délicatement pour s’enfoncer en elle sans lui faire mal. Après dix bonnes minutes de plaisir intense, il retira son sexe de sa foune pour l’enfoncer dans son cul. Cette créature de rêve ne semblait pas étonnée, elle semblait même ravie que son homme se décide enfin à la sodomiser.

Élodie et moi étions ébahis de la voir prendre son pied de la sorte alors que nous étions convaincus qu’un pareil membre ne pouvait que lui faire mal. Après quelques minutes de ce plaisir extrême l’homme se retira et elle s’agenouilla pour recevoir un gros jet de sperme chaud sur le visage et dans la bouche. Elle s’en délecta sous les yeux ravis de son amant puis ils se plongèrent tous les deux sous la douche pour se rafraîchir.

 Profitant du bruit de l’eau, nous nous sommes dirigés vers la zone des hommes pour prendre enfin cette bonne douche tant attendue. Je m’apprêtais à demander à Élodie une petite pipe vite fait pour me soulager avant de quitter cet endroit déjà chargé de souvenirs lorsque notre jolie « maîtresse-nageuse » est apparue à l’entrée de la douche sans avoir pris le soin de remettre son maillot.

Elle nous dit : « Faites à votre aise, j’ai fermé le bâtiment… nous avons toute la nuit devant nous… ! »

Par Camille - Publié dans : Vos contributions
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Mercredi 16 avril 3 16 /04 /Avr 13:26

Nous avions décidé d’aller faire un squash.
Comme d’habitude, j’avais enfilé ma tenue de sport : tee-shirt moulant, short court (sans petite culotte) afin d’être à l’aise dans mes déplacements.
A peine sur le cour, j’entendis dans un murmure : « Tu es sexy comme ça, j’ai très envie de toi. »

Nos échanges commencèrent.
Chaque fois que nous nous frôlions, je sentais son excitation grandir.
L’effleurement du tissu de mon short sur mon sexe provoquait des ondes de désir. Je sentais mes lèvres gonfler.
Nous continuions cependant à jouer.
Je sentais mon short s’humidifier à mesure que je renvoyais la balle.

Enfin, un dernier rebond…
J’allais ramasser la petite balle en prenant soin de me baisser dans le champ de vision de mon partenaire de jeu afin qu’il puisse profiter de la vue puis me dirigeais vers le vainqueur afin de l’embrasser.
J’en profitais pour me coller contre lui et je sentis qu’il n’était effectivement pas de marbre. Ma main descendit alors le long de son short jusqu’à effleurer son sexe.

Nous sortîmes du cour laissant ainsi la place aux deux hommes qui attendaient de l’autre côté de la vitre et qui n’avaient rien manqué de nos dernières minutes de présence sur le terrain.

Nous prîmes quelques minutes pour nous désaltérer puis pour nous étirer.
Mon short était maintenant orné d’une auréole mouillée.
Nous nous rendîmes enfin aux vestiaires. Il y avait deux sacs dans celui des hommes. Quant à celui des femmes, il était vide.
C’est là que nous posâmes nos affaires.

Je me suis dévêtue pendant que mon partenaire me regardait.
Ses yeux en disaient long sur son désir.
J’allais sous la douche sans lui laisser le temps de m’approcher.
L’eau était froide et mes seins pointèrent encore plus.
Je frissonnais de désir moi aussi.

Il arriva enfin. Son sexe était érigé, gonflé de sang et d’envie.
Il tendit les mains vers moi. Je fermais les yeux sous ses caresses.
Des frissons me parcouraient de la tête aux pieds.
Une envie d’abandon.
Il vint derrière moi, se coller tout contre moi. Je sentais son sexe. Il me couvrait de petits bisous, me pinçait les seins.
Dans le lointain, des rires, un bruit de porte.
Je profitais de ces moments avec intensité.
Nous risquions d’être découverts mais le danger était excitant.
Ses mains parcourent mon corps, mes mains dans mon dos caressent son sexe. Je bascule ma tête en arrière et nous nous embrassons sauvagement. Nos langues se mélangent.

Alors que nous nous tenons ainsi, je sens ses mains qui viennent jouer avec mon sexe. Pourtant je réalise que ses mains sont déjà très occupées à me titiller les seins.

Surprise, j’ouvre les yeux et mon regard tombe sur la sublime femme qui était à l’accueil. Mon ami la regardait à chaque fois avec gourmandise. Et maintenant le fruit inaccessible se joignait à nous.

Elle est nue.
Elle nous offre le splendide tableau de ses seins ronds en avant, de ses jambes légèrement écartées, de son sexe totalement épilé. Je ne suis pas insensible.
« J’ai fermé la porte à clef, dit-elle simplement en se baissant pour jouer avec mon sexe. »
Je la regarde et la laisse faire.
Je la vois approcher sa bouche de mon sexe. Elle commence avec sa langue de petits ronds savants autour de mon clitoris.

Mon ami s’est un peu reculé.
D’une main, il continue son petit jeu avec mes seins ; de l’autre, il a entrepris de se caresser le sexe. Ses yeux ne nous quittent pas.
Ils expriment de la gourmandise.

C’est alors que je me sens partir.
Une vague intense de plaisir vient me submerger.
Quel plaisir !
J’ouvre les yeux.

La jeune femme a quitté mon sexe pour s’emparer de celui de mon ami comme s’il s’agissait d’une délicieuse friandise. Il faut avouer que ce membre est bien bon, bien dur…

Un coup d’œil à mon ami, un petit signe d’assentiment et je me baisse à mon tour. J’ai très envie de jouer avec le sexe de notre nouvelle camarade de jeux.
D’abord, mes doigts, de façon à découvrir son intimité. Doucement, je tourne, je frotte, je roule. C’est doux, mouillé, chaud.
Je la sens vibrer sous mes caresses et moi, j’aime ça !
Je me baisse un peu plus et approche ma langue de ce fruit qui s’offre. Ma langue joue, écarte, fouille… Mes doigts pincent maintenant le bout de ses seins et de petits gémissements se font entendre.

Elle continue la succion du sexe masculin bien raide devant elle. Je fais durer le plaisir et alors qu’un gémissement significatif m’indique que mon ami vient de jouir dans la bouche de la belle, je donne un dernier coup de langue qui l’emmène dans les profondeurs du plaisir.

Je me relève. Elle m’embrasse goulûment. Nous partageons le sperme qu’elle n’avait pas avalé.
Debout, pudiquement, sans trop oser nous regarder après cette nouvelle expérience, nous prenons notre douche.
Elle se rhabille rapidement.
« A bientôt, dit-elle en refermant la porte derrière elle. »

Nous sommes à nouveau tous les deux.
Mon ami sourit.
« Quand rejouons-nous ? lui dis-je l’œil pétillant. »

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mercredi 16 avril 3 16 /04 /Avr 13:01
Un de nos lecteurs nous a envoyé quelques photos. On ne peut que le remercier et vous inviter à visiter son site...
http://lui45.over-blog.com/
Vous y trouverez un tas de très belles photos...
En voilà un apercu.


Par Camille - Publié dans : Nos blogs coup de coeur
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Mardi 15 avril 2 15 /04 /Avr 12:46
Par Camille - Publié dans : Vos contributions
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Lundi 14 avril 1 14 /04 /Avr 13:34
 


Votez pour elles :
Galia (en haut à gauche), Carole (à droite) ou Isabelle (en bas).
Qui sera la contribution du mois ?

Envoyez vos photos pour le concours du mois prochain...
Par Camille - Publié dans : Vos contributions
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Jeudi 10 avril 4 10 /04 /Avr 12:53

Quand Fred perdit une dernière fois, il se rappela les mots de Suzanne : "Tout le monde te saute dessus. Et tu fais ce qu'on te demande, jusqu'à ce que tu nous aies toutes satisfaites." Les quatre filles se rapprochèrent de leur proie ; elles le poussèrent sur le dos. Suzanne vint le chevaucher la première, s'empalant sur sa queue érigée jusqu'à ce qu'il se retrouve jusqu'au fond de sa chaude moiteur. Lorie vint s'asseoir sur son visage, et sa chatte aux boucles blondes et soyeuses obscurcit aussitôt son champ de vision. Il darda sa langue entre ses lèvres, à l'intérieur de son puits aux délices. Dans le même temps, il pouvait sentir des mains caresser la moindre part de son corps nu, et sut ainsi que les autres filles ne restaient pas inactives. Suzanne ahanait de plus en plus vite sur sa bite ; la friction des parois de son vagin le rendait fou de plaisir. Il tendit les mains des deux côtés, trouvant à l'extrémité de chacune un corps chaud et satiné. D'un côté, une cuisse athlétique, avec, plus haut des poiles humides et frisés, où il laissa jouer ses doigts. De l'autre, il trouva une autre main, plus fine et menue que la sienne. Il la serra quelques instants, puis remonta le long d'un bras mince, jusqu'à un sein gros et ferme, qu'il pelota, taquinant le téton érigé.
 
Les filles changèrent de place à tour de rôle, veillant à ne jamais laisser son pénis ou sa langue inoccupés plus de quelques secondes. Il perdit le compte des orgasmes féminins qu'il sentit, ou entendit, et les filles se mélangèrent dans son esprit comme au sein d'un brouillard - il se crut enveloppé par un corps unique de femme, avec quatre vagins, huit mains, quatre bouches et huit seins. Sa bite palpitante était en feu ; il ne comprenait pas, car il aurait dû éjaculer depuis déjà longtemps.

Elise avait maintenant beaucoup plus d'assurance. Elle comptait même bien avoir le dernier mot... Elle se positionna sur le canapé,  les fesses en avant, et de sorte que Fred puisse la voir. Elle n'eu pas à attendre très longtemps. Fred s'extirpa de la mélée, laissant les trois autres femmes se lecher mutuellement et rejoignit Elise. Voir cette femme qu'il voulait tant baiser, soumise, offrant même sa petite rondelle à son penis l'excitait encore plus. Son sexe était énorme et il se positionna à l'entrée de son anus. Il sentait Elise souffler. Un mélange d'impatience et d'apréhension surement. Il la penetra lentement, jusqu'au plus profond d'elle. Elise poussa un  petit cri mais son anus semblait etre habitué à ce genre d'exercice. Fred commenca à la pénétrer de plus en plus fort, et de plus en plus vite. Elise ne retenait plus ses cris et elle hurlait véritablement à chaque coup de rein. Fred la pillona quelques minutes. Mais ce petit trou étroit qui enserrait son sexe le rendait fou. Il sentit la tension familière dans ses testicules, et expulsa un torrent de sperme au fond de ce petit cul. Les autres femmes alerté par son orgasme arretèrent leurs petits jeux et vinrent pour nettoyer son sexe à grands coups de langues...

Ce fut, décidément, une bien longue soirée !

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 4 avril 5 04 /04 /Avr 12:52

- A présent, passons à la deuxième phase du jeu, déclara Suzanne.

Fred la considéra avec attention, impatient de savoir ce qu'elle avait en tête.  
- Jusqu'ici, le perdant se contentait de se déshabiller. Mais dans le cas où l'on perd alors qu'on est déjà complètement nu, que fait-on ?
Ecouter son discours n'empêcha pas Fred de laisser traîner ses yeux un peu partout, sur ses seins ronds aux tétons érigés, sur la zone encore couverte entre ses cuisses, puis à nouveau sur ses seins...
- Je vous propose, si vous perdez, de piocher une nouvelle carte, et de compter vos voisin-voisines dans le sens des aiguilles d'une montre, autant de fois que le chiffre de la carte. Si c'est votre premier gage nu, vous devrez embrasser la personne ainsi désignée pendant toute une minute. Juste un baiser, j'insiste : pas le doit d'enlacer, encore moins de peloter ! Si c'est la seconde fois, la personne a le droit de vous toucher où elle veut avec ses mains, et vous devrez, pendant ce temps, rester passif et immobile. La troisième fois, il ou elle a le droit d'utiliser sa bouche et sa langue sur votre corps. Et si vous perdez une quatrième fois... (elle regarda Fred droit dans les yeux) ...vous prenez votre partenaire et lui faites tout ce qui pourra lui donner du plaisir.
- Et supposons que je perde encore, après ça ? demanda Fred.
Après un bref silence, Suzanne sourit.
- Dans ce cas, tout le monde te saute dessus. Et tu fais ce qu'on te demande, jusqu'à ce que tu nous aies toutes satisfaites.
 
Tout en distribuant les cartes pour la prochaine manche, Fred sentait son excitation grimper en flèche. Il considéra les quatre femmes autour de lui... Jennifer, toute nue et déjà vibrante de désir... Suzanne, vêtue seulement d'un tout petit slip rouge et de son sourire espiègle... Lorie, en string et bustier roses... et Elise, dans sa petite culotte noire, encore un peu intimidée, et visiblement plus jeune et moins expérimentée que ses copines. Il sourit à la jeune fille : comme elle croisait son regard, elle lui rendit un petit sourire très doux, chargé de promesses, avant de rougir et de tourner la tête.
 
Lorie dut enlever son bustier rose. Elle se mit debout face à Fred, et croisa les avant-bras sur sa poitrine. Elle saisit dans chaque main les bretelles délicates du bustier, puis le fit sensuellement glisser au-dessus d'elle avant de l'envoyer à Fred d'un geste enjoué. Ses cheveux blonds volant autour d'elle, elle se rapprocha encore de Fred et, d'un mouvement érotique du bassin, vint lui coller son entrejambe juste sous le nez.
 
Après, ce fut au tour de Fred d'être séparé de son caleçon. Cet honneur échut à Jennifer. Elle mit ses mains dans le boxer, et se saisit fermement du membre viril afin de le libérer de sa prison. Agenouillée, elle abaissa encore le caleçon, caressant de ses seins son érection vibrante, avant de conclure l'opération par un bisou rapide de ses lèvres autour du gland.
- Quel beau morceau ! s'exclama Suzanne, je suis impatiente de mettre la main dessus !
- La main seulement, Suzanne ? la taquina Lorie.
Mais Fred ne les écoutait pas : il regardait Elise, qui paraissait médusée, le regard fixé sur l'entrejambe du garçon, manifestement incapable de détourner les yeux de son phallus. L'expression de son visage était un mélange de désir et d'appréhension.
 
Elle avait toujours le regard rivé au même endroit quand débuta la manche suivante, et ne releva la tête que lorsque Jennifer l'avertit :
- Redescends sur terre, Elise : tu as perdu. C'est l'heure du strip-tease !
Apparemment hésitante, elle commença à retirer sa petite culotte de soie noire, puis changea d'avis et vint jusqu'à Fred. Elle se tint, tremblante, devant lui, sans oser le regarder dans les yeux. Gentiment, il lui saisit les hanches à deux mains, puis tira sur sa culotte avec douceur et délicatesse. Elle était à présent nue devant lui, baignant dans une cascade de longs cheveux noirs. Seule une légère touffe de poils sombres ornait son minou, et laissait bien visibles ses lèvres minces et roses. Toujours sans oser le regarder, elle se baissa d'un geste hésitant pour toucher son pénis, puis retira sa main aussitôt et courut se rasseoir.
 
Fred contrôla son souffle. La peau douce et bronzée d'Elise, sa timidité manifeste, tout cela était irrésistible. Il la lui fallait absolument avant la fin de la nuit ! Mais, pour l'instant, il devait se contenter de regarder, dans l'espoir que les cartes lui apportent l'opportunité voulue.
 
En dépit d'une paire de dix, Suzanne ne put gagner la main ; elle se leva pour retirer sa petite culotte rouge, qu'elle fit glisser sur ses hanches d'un seul mouvement souple, la laissant tomber sur ses chevilles. Sa toison pubienne était brune, mince et soyeuse.
 
Lorie fut la perdante suivante, et elle vint se placer tout contre Fred pour tirer sur la ficelle de son string et le baisser, centimètre par centimètre. Ce faisant, elle promenait sa chatte juste sous le nez du jeune homme, presque à portée de sa langue. L'odeur des jus intimes de la fille envahissait ses narines. Quelle gourgandine ! Elle se tint nue, les cuisses grandes ouvertes, exhibant avec fierté son corps superbe. Elle s'arc-bouta, pressant son bassin contre la figure de Fred, qui se saisit de ses fesses rebondies, avant de plonger sa langue dans la douceur veloutée de sa chatte blonde.
- Ah non ! Pas de ça ! Les plaisirs sont rationnés jusqu'à la fin du jeu, les interrompit Suzanne.
Lorie s'écarta et alla se rasseoir, mais Fred percevait toujours sa respiration rapide, ainsi que le goût de son intimité sur sa langue.
 
Suzanne perdit la manche suivante. - Flûte, s'exclama-t-elle, prenant une carte dans la pile. C'était un deux. Elle compta :
- Fred un, Jennifer deux... Viens, Jennifer.
Les deux filles se penchèrent au-dessus de Fred, joignant leurs lèvres pour un baiser profond. Les deux paires de seins pendaient à quelques centimètres du visage de l'homme, le frôlant parfois. Mais la règle "pas de pelotage" était très claire, aussi tentant fût-il de tendre les mains pour un pelotage double ! Les filles s'écartèrent au bout d'une minute, toutes les deux presque à bout de souffle.
 
 
Au cours de la manche qui suivit, Fred fut le perdant - si on pouvait appeler ça perdre. Il piocha un huit, et compta dans le sens des aiguilles d’une montre pour s'arrêter sur Lorie. Elle se leva et le rejoignit pour un baiser langoureux, son corps pressé contre le sien, dardant sa langue dans sa bouche pour une minute intense. Son érection palpitait, prise en sandwich contre la peau soyeuse de son ventre. Puis ce fut le tour de Suzanne. Elle piocha un dix et, visiblement excitée et impatiente, se mit à compter. C'est alors que son expression changea, elle fronça les sourcils d'un air consterné :
- Mais je reviens au point de départ : moi-même ! Qu'est-ce que je vais faire ?
- Exactement ce que dit la règle, répondit Jennifer : pendant une minute, toucher la personne indiquée par la carte. Vas-y et touche-toi, Suzanne ! Touche-toi là où ça fait le plus de bien !
Suzanne devint pivoine, de toute évidence elle n'avait pas l'habitude de se masturber en public... cependant, quand elle se coucha sur le dos, et qu’elle se mit à caresser doucement son ventre et ses seins, elle ne put dissimuler son plaisir. Fred observa, fasciné, sa main descendre vers ses cuisses, qu'elle écarta pour le laisser admirer sa chatte, avant que ses doigts ne commencent à caresser la partie sensible. Elle laissa échapper un gémissement sourd. Quand le temps fut écoulé, Jennifer dut lui retirer sa main de force.
- Le rationnement des plaisirs, ma chérie, rappela-t-elle. Cela fait partie du jeu.
Après un dernier cri de plaisir et de frustration mêlés, Suzanne se rassit et s'efforça de composer son visage, excité et rougi par cette petite séance.
 
Ensuite, Lorie dut embrasser Suzanne, non sans une ardeur notable, et Jennifer échangea un baiser avec Fred. Cette fois-ci, elle prit soin de respecter les règles et se contenta d'un baiser classique ; cependant, elle ne manqua pas de lui chuchoter quelques mots, pleins de promesses des plaisirs à venir. Pour son second tour de gage, Lorie eut Fred. Celui-ci lui ordonna de lui tourner le dos, et entreprit de presser sa verge contre son postérieur rebondi, les mains tendues pour lui caresser les seins. Il fit descendre une main en direction de son bas-ventre, laissant l'autre jouer avec un mamelon. Le souffle de la jeune femme s'accéléra. Il caressa gentiment ses boucles blondes, poursuivit sa descente, apprécia le contact velouté de l'intérieur de ses cuisses, remonta, écartant ses jambes, frôla ses lèvres, sa moiteur ; avec précaution, il inséra un doigt entre les grandes lèvres, le retira, puis relâcha complètement son étreinte, car Jennifer rappelait que le temps était écoulé..
 
Elise dut embrasser Suzanne. Visiblement peu enthousiaste, elle refit deux fois le compte. Et se contenta d'un baiser froid, minimal, avec les lèvres closes. Puis elle perdit de nouveau, mais se révéla, cette fois, plus chanceuse dans son gage. Elle et Fred se mirent debout l'un face à l’autre, elle le regarda bravement dans les yeux. Leurs visages se rapprochèrent. Il l'enlaça, lui donna le baiser qu'elle désirait, tout en lui massant le dos, jusqu'à son petit fessier enjôleur, qu'il prit soin de malaxer. Elle s'abandonna à son étreinte, un doux soupir s'échappa de ses lèvres. Elle pressa son corps tout entier contre le sien, remuant doucement les hanches. Il se contenta de la serrer tendrement contre lui, puis, à contrecœur, il s'écarta, et posa les mains sur ses épaules pour admirer son petit corps souple, élégant. Puis il fit descendre ses mains, caressant chaque centimètre de peau bronzée, ses seins, son ventre, le galbe de ses jambes, jusqu'à ses pieds mignons. Quand il eut fini, elle tremblait, mais alla se rasseoir sans proférer un son.
 
Fred, lui-même, avait du mal à contrôler sa respiration, et sa bite était tendue à exploser. Ce jeu était terriblement excitant et, à la fois, monstrueusement frustrant. Cerné par quatre onctueuses filles nues, mais sans pouvoir prendre de plaisir avec elles autrement qu'en rations très restreintes. Il sentait son excitation croître douloureusement, de minute en minute... ce qui ne s'arrangea pas avec la manche suivante, quand Jennifer fut désignée pour être sa "masseuse." Elle lui ordonna de se coucher sur le dos sans bouger, et il retint à grand-peine un hurlement de plaisir quand les mains expertes de la jeune femme caressèrent sa bite et ses couilles. Au tour suivant, les rôles furent inversés : Fred offrit l'habileté de ses mains à Jennifer, caressant sa motte. Il écarta ses lèvres pour titiller son clitoris, et fut récompensé par un gémissement de plaisir. Un doigt, puis deux, se frayèrent un chemin dans cette douceur humide. Elle se tortilla d'aise sous sa caresse, poussant son bassin en direction de ses doigts. Ses halètements et ses contorsions subsistèrent un long moment après qu'il eut terminé.
 
La pauvre Elise se retrouva de nouveau avec Suzanne, ce qui parut la chagriner encore plus que la fois précédente. Mais, avec douceur, Suzanne lui demanda de s'allonger sur le dos, de fermer les yeux et de se détendre. Elle entreprit alors de régaler la chatte d'Elise de petits bisous ; quand elle se mit à utiliser sa langue, léchouillant son clito, Elise ne put se retenir plus longtemps et se répandit en petits miaulements de plaisir. Puis ce fut au tour de Lorie de prodiguer à Suzanne les mêmes faveurs, et cette dernière se révéla bien moins avare en vocalises : ses soupirs et ses cris montaient chaque fois que la langue de Lorie touchait ses points sensibles.
 
"Mon dieu, faites qu'Elise perde encore..." pensa Fred comme la manche suivante débutait. "Alors, je pourrai lui faire l'amour. Cela dit, bien sûr, si Suzanne perd, je pourrai la baiser elle aussi… et si moi je perds, l'une de ces adorables créatures viendra me sucer... plutôt un bon plan, quelle que soit la tournure des évènements ! Si tout se passe bien, je pourrai enfiler ma bite dans chacune d'elle avant la fin du jeu..." Jennifer était la perdante, et Lorie lui adminstra un léchouillage en bonne et due forme. Puis ce fut le tour de Fred : allongé sur le sol, il laissa Suzanne s'installer sur son torse, tandis que les lèvres de la brune s'approchaient de sa bite dressée. Elle entama sa fellation, ses lèvres coulissant le long de son mât, sa langue entamant une danse autour du gland. Sans cesser de le sucer, elle pressa son cul contre son visage, dans une claire invitation à la réciprocité. A voir cette chatte chaude et humide, ces lèvres gonflées et luisantes à quelques centimètres de sa bouche, il n'hésita pas et tendit sa langue. Il n'eut à la lécher que quelques secondes pour qu'elle jouisse violemment, agitée d'un tremblement convulsif, son cri orgasmique à peine étouffé par le phallus qui emplissait sa bouche.
Puis, enfin, vint le moment qu'il attendait : Elise.

 

Quand Elise prit conscience de ce qui allait suivre, elle poussa un léger soupir, s'allongea sur la moquette et ferma les yeux. Il se leva, son phallus fièrement dressé, et prit son temps pour admirer ce magnifique corps gracile, si nu et si vulnérable sur le sol. Avec douceur, il lui écarta les jambes, s'agenouilla et se pencha pour échanger avec elle un doux baiser. Puis il positionna sa bite à l'orée de son saint des saints, et frotta l'extrémité de son gland d'abord contre sa toison, puis entre ses grandes lèvres, de haut en bas. Enfin, quand elle commença à soulever son bassin vers lui, et qu'il sentit sa liqueur d'amour se déverser depuis sa fente, il la pénétra, d'abord avec son gland, puis, d'un seul mouvement, avec toute la longueur de son membre. Elle cria de satisfaction et l'enlaça, tentant de l'attirer plus profondément en elle. Sa chatte enserrait fermement sa bite pendant qu'il entamait de lents mouvements de reins, qu'elle accompagna de ses hanches. Chaque va-et-vient arrachait un gémissement des lèvres de la jeune fille. Quand il accéléra le rythme, ceux-ci gagnèrent en volume et se transformèrent en hurlements de joie et de plaisir, la laissant terrassée par l'orgasme. Il se retira, et elle reposa, pantelante, la poitrine secouée par ses halètements. Regardant autour de lui, Fred vit les trois autres filles qui n’avaient pas perdu une miette du spectacle.
- C'était bien ? demanda Jennifer, une main entre les cuisses. Ne gâche pas tes réserves, on veut notre part nous aussi, dit-elle en désignant sa bite, rendue luisante par les jus intimes d'Elise.
 
Les souhaits de Jennifer furent exaucés au cours de la manche suivante, quand elle "perdit" et que, naturellement, elle prit Fred pour satisfaire son plaisir.
- Prends-moi, baise-moi par derrière !
Elle l'implora, à quatre pattes, les cuisses grandes ouvertes. Entre les monts voluptueux de son cul blanc et rond, sa chatte aux lèvres rougies, béantes, était une invitation qu’il ne pouvait refuser. Il n'hésita pas une seconde, et d'un violent mouvement du bassin, il enfouit son chibre rigide dans cette fente chaude et ruisselante. Jennifer laissa échapper un long et profond cri de joie, pendant qu'il lui pilonnait la chatte avec ardeur. L'excitation de la fille montait sans cesse, sous les assauts répétés que subissait son minou. Il fallut moins d'une minute à Jennifer pour atteindre l'orgasme. Au moins, Fred s'était réservé pour la suite : il restait dans la pièce d'autres trous qui attendaient impatiemment d'être remplis...
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Dimanche 30 mars 7 30 /03 /Mars 12:42
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Par Camille - Publié dans : Vos contributions
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Vendredi 28 mars 5 28 /03 /Mars 12:39

A ceux qui doutent que les mots peuvent faire plus d'effet que la plus chaude des photos, voilà de quoi leurs prouvé le contraire. Une superbe histoire prise sur un forum. Magnifiquement rédigée.

La jeune femme aux longs cheveux noirs venait de perdre une nouvelle fois. A gestes lents et lascifs, Elise se mit à défaire, de bas en haut, les petits boutons qui fermaient le devant de son chemisier. Chaque bouton ôté faisait s'écarter davantage les pans du tissu, révélant peu à peu le teint bronzé de sa poitrine, ainsi qu’une magnifique paire de seins, qui semblaient prêts à jaillir hors du soutien-gorge de dentelle noire qu’elle portait encore.
   
Fred embrassa d'un regard admiratif les courbes délicates de ses seins arrogants, tandis qu'à sa droite, une fille aux cheveux auburn battait les cartes en vue de la prochaine manche. A priori, ce n'était qu'un strip-poker classique, mais les filles, quand elles l'avaient persuadé de se joindre à elles, n'avaient pas manqué de lui promettre d'intéressantes variantes pour la suite... 
 
Il était tard, la fête s'achevait, il était temps pour lui de rentrer. C'est alors que les quatre filles étaient venues vers lui. A eux cinq, ils étaient les dernières personnes restantes dans la maison, toutes les autres étaient déjà parties. Les jeunes femmes eurent quelques sourires gênés, frottant leurs pieds d'un air embarrassé, avant qu'une grande blonde ne se décide à lui demander s'il voulait bien faire un jeu de cartes avec elles. Fred eut une brève hésitation, se demandant où elles voulaient en venir. En dehors de l'hôtesse des lieux, une petite brune nommée Suzanne, avec une longue chevelure bouclée et de petits seins fermes, il ne connaissait aucune des trois autres. Elles étaient toutes visiblement plus qu'un peu éméchées, et d'humeur taquine. Mais la blonde, percevant son hésitation, s'approcha et, mettant ses bras autour de lui, lui promit un jeu très intéressant et spécial. Le contact de ses seins pointus, frottant contre son torse, ne tarda pas à provoquer un durcissement caractéristique entre ses jambes... qui prit le contrôle de son cerveau : il s'entendit répondre oui.
   
Ils allèrent tous les cinq au salon, puis s'assirent en rond sur la moquette épaisse. Suzanne était à sa gauche et, tenant toujours son rôle d'hôtesse de la soirée, elle sortit un jeu de cartes qu'elle se mit à mélanger. A la droite de Fred se tenait une pulpeuse beauté rousse prénommée Jennifer et, à côté d'elle, Elise, celle aux longs cheveux noirs. Lorie, la blonde enjouée, était assise entre Suzanne et Elise, fermant le cercle. Fred coupa les cartes, puis Suzanne en distribua cinq à chacun, et la partie de poker commença.
   
La jeune femme à la chevelure de jais perdit la première manche, mais cela ne lui coûta qu'une paire de chaussures à talons hauts.
- Ce n'est pas juste, Elise ! se plaignit la blonde. Jennifer et moi sommes pieds nus depuis le début.
- Trop tard, Lorie, répondit Elise d'un air espiègle, il fallait y penser avant. De plus, toi tu portes des bas et moi pas.
- Et toi, Suzanne, qu'est-ce que tu portes sous cette jolie robe ?
Suzanne était vêtue d'une courbe robe rouge qui lui découvrait les épaules, ainsi que de bas noirs à couture apparente.
- Ca, vous le saurez bientôt, répondit-elle. Maintenant revenons au jeu, j'ai envie d'un peu d'action. Allez, Fred, c'est ton tour.
 
Celui-ci battit les cartes, et la partie se poursuivit.. Au cours des manches suivantes, il ne tarda pas à perdre ses chaussettes et sa chemise. Jennifer se proposa pour l'aider à retirer cette dernière ; elle en profita pour caresser malicieusement son torse nu avec le bout des ongles, avant de tirer la chemise le long de ses bras. Il lui rendit obligeamment le même service quand elle perdit sa jupe, et ne manqua pas l'occasion qui lui était offerte de caresser ses fesses à travers sa culotte de dentelle bleue. Elise perdit la main face à Jennifer ; elle dut se mettre debout pour enlever son jean moulant, découvrant un minuscule slip de soie noire. Suzanne perdit la manche qui suivit. Elle troussa sa robe pour révéler une paire de bas auto-fixants, qu'elle roula lentement le long de ses jambes.
 
Puis ce fut de nouveau Elise qui perdit. Fred se força à ne pas regarder de manière trop ostentatoire quand elle dégrafa son chemisier, ses mains fines révélant toujours plus de peau dorée, comme les boutons glissaient sous ses doigts. Son regard inquisiteur n'échappa cependant pas à la jeune femme, et elle lui répondit par un sourire timide, mais encourageant.
 
Au tour suivant, Lorie perdit pour la première fois. Souriante, elle troussa sa minijupe, exhibant une paire de collants blancs et soyeux, qu'elle roula le long de ses jambes fines et bronzées. Ce fut ensuite au tour de Jennifer de montrer ce qui tendait le tissu de son petit haut. Elle prit son temps pour défaire chaque bouton, et quand le dernier fut défai, elle se tourna vers Fred avec un sourire tentateur. Il glissa ses mains sous les pans du chemisier, les referma autour de sa taille, puis les fit remonter lentement, s'arrêtant le temps d'apprécier la courbe de ses seins, à travers la dentelle bleue de son soutien-gorge à balconnet. Il titilla quelques secondes ses tétons à l'aide de ses pouces, et la course de ses mains reprit de plus belle, caressant toute la surface de sa poitrine généreuse, avant de faire glisser le chemisier le long de ses épaules, et enfin de ses bras. Il lui saisit de nouveau la taille, se pencha, embrassa un téton, puis l'autre. Elle ne se déroba pas, ce qui l'encouragea à multiplier baisers et caresses jusqu'à ce qu'il sente s'accélérer la respiration de la jeune femme. Mais Suzanne les interrompit :
- Vous aurez le temps pour ça plus tard ! D'abord, on doit arriver à faire voler ton caleçon, beau gosse !
 
Lorie perdit les deux mains suivantes et dut abandonner son haut et sa minijupe. Elle se retrouva en bustier rose et string assorti. Une paire de trois provoqua un nouvel échec de Jennifer. Elle se glissa jusqu'à Fred, et lui demanda de lui enlever son soutien-gorge de dentelle bleue. Face à elle, Fred dégrafa dans son dos la pièce de lingerie, et la tira jusqu'à lui, les mains par-dessous la dentelle fine, ce qui lui permit d'apprécier, du bout des doigts, la douceur de cette peau féminine. Quand ses mains viriles s'approchèrent de la rotondité de ses seins, elle se dégagea prestement hors de sa portée :
- On touche avec les yeux, Fred - au moins pour l'instant !
D'un mouvement d'épaules, elle fit tomber le soutien-gorge sur le sol. Les yeux de l'homme se retrouvèrent rivés à cette paire de seins libres et arrogants. Le contraste entre ses tétons, longs, roses, durcis, et la pâleur crémeuse de ses nichons était irrésistible. Jennifer les pressa l'un contre l'autre et se pinça les mamelons entre ses doigts.
 
Elle disputa alors une main contre Fred, que celui-ci perdit : c'était à présent au tour de son pantalon de tomber. Uniquement vêtue de sa petite culotte bleue, elle s'agenouilla devant lui, lui ordonna de se mettre debout, et commença à défaire sa ceinture. Elle allait baisser le pantalon quand il sentit plusieurs mains chaudes se glisser sous l'élastique. Lorie s'était mise à côté de Jennifer, et Suzanne derrière lui. Il sentit la poitrine ferme de celle-ci se presser dans son dos, et ses mains palper ses fesses viriles à travers son sous-vêtement.
- Nous aussi on veut s'amuser, dit Lorie en glissant ses doigts dans son caleçon.
Elle taquina du bout des doigts sa bite durcie. Les efforts conjugués de ces trois paires de mains eurent finalement raison de son pantalon, le laissant seulement vêtu d'un boxer tendu à craquer par son érection.
 
Vint le tour de jeu suivant. Chacun montra ses cartes. Suzanne gloussa :
- On dirait que ça y est...
Elle se mit debout, défit la fermeture éclair de sa robe et se tourna vers Fred. Celui-ci, debout à son tour, mit ses mains sur les épaules de la jeune femme, et fit lentement glisser la robe, découvrant de jolis seins ronds et hauts perchés. Elle se tint parfaitement droite, et n'eut qu'un léger frémissement quand elle sentit les lèvres de l'homme se refermer autour de ses mamelons. Il laissa sa bouche accompagner la descente de la robe, caressant de son souffle chaud le ventre peu à peu révélé. Puis il libéra les hanches, le vêtement tomba autour de ses chevilles : elle ne portait dessous qu'un minuscule slip rouge. Fred prit dans ses mains les fesses rondes, qu'il pétrit avec douceur, tout en arrosant de baisers tendres et humides le haut des cuisses. Avec un petit gémissement, Suzanne tendit ses hanches en direction du mâle. Fred vit grossir une petite tache sombre sur le devant de sa culotte, mais il se contenta de relâcher son étreinte et de retourner s'asseoir. Il n'était pas pressé, il savait que les choses viendraient en leur temps.
 
La suite de la partie vit Elise perdre son soutien-gorge, et Fred eut un sifflement appréciateur devant le spectacle de ses gros seins, libérés de leur dentelle noire. Leur blancheur délicate offrait un contraste saisissant avec le bronzage doré qui ornait le reste de son corps. Elise piqua un fard, et se rassit en croisant les bras pour cacher sa poitrine nue.
 
Encore une main perdante pour Jennifer ; elle se mit debout, les mains sur les hanches, l'index dans l'élastique de sa petite culotte bleue. Elle tourna le dos à Fred, se pencha vers l'avant, et fit glisser la lingerie délicate le long de ses cuisses veloutées, lui dévoilant les charmes de son cul. Quand la culotte eut atteint ses chevilles, elle s'en dégagea, se tint jambes écartées, puis fit courir ses mains à l'intérieur de ses cuisses, jusqu'à son sexe. Fred vit ses doigts s'agiter dans son entrecuisse, et sentit s'élever son odeur musquée. Jennifer gémit doucement, et son corps se contracta sous la poussée d'un petit orgasme.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Lundi 17 mars 1 17 /03 /Mars 13:18
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